Nous constatons que 3 archétypes suffisent.
Les gens du "métier" nous confirment notre découpage.
ont un effectif limité à quelques personnes
pas de fonction administrative ou une personne qui "fait un peu tout"
souhaitent un service administratif simple pour effectuer une demande de financement et en suivre l’avancement.
ont un effectif de plusieurs dizaines à plusieurs centaines de personnes
la fonction RH existe, tout en étant généraliste et équipée de manière rudimentaire (souvent des fichiers excel)
apprécient les services d’accompagnement RH: mise à disposition d’un catalogue de formations, optimisation du plan de formation, etc
ont un effectif de plusieurs centaines de personnes à plusieurs milliers de personnes
la fonction RH est spécialisée et équipée d'outil dédié (SIRH)
souhaitent intégrer les services directement dans leur propre application RH, afin de diminuer la charge de double saisie.
L'Archétype et le Persona
synthétisent les recherches utilisateurs,
réduisent la multitude des utilisateurs à quelques figures communes,
utilisent les attentes, les comportements et les attitudes des utilisateurs,
mettent en avant des éléments ayant un impact opérationnel.
mais ils ne présentent pas les résultats de la même façon.
Le Persona accentue la dimension émotionnelle, en donnant chair au descriptif.
Le Persona a un prénom, une photo et une courte histoire de vie.
Par exemple, "Pauline a fait des études d'art. Elle collectionne les affiches Art déco."
L'Archétype accentue la dimension fonctionnelle, en se centrant sur les buts et les actions.
L'Archétype a un titre, souvent composé d'une action et d'un qualificatif.
Par exemple, "l'acheteur passionné"
A noter, que le contexte particulier (B2C) ou professionnel (B2B) doit être pris en compte.
Pour aller plus loin: Nielsen et Norman Group